Raffaella della Olga par Raffaella della Olga
Art contemporain | Le double, l’autre moi-même invisible, sans contours définis, qui se fait voix, intuition, vibration.
Portrait de Raffaella della Olga dans son atelier
© Photo : Florian Kleinefenn
Je, le monde
Le double, l’autre moi-même invisible, sans contours définis, qui se fait voix, intuition, vibration.
Avoir des images parlantes comme vecteurs qui me conduisent à l’intérieur de moi même.
Dialogue de voix à voix qui devient écriture asémique.
Où vont toutes les images qu’on accumule dans une vie ?
T22, tapuscrit sur papier carbone et papier aluminum, 2019
© Photo : Florian Kleinefenn
L’atelier, la démarche
Dans l’atelier, je m’abstrais du monde extérieur et j’opère comme une tisserande sans un vrai fil conducteur, sur mes machines à écrire et sur mes tissus.
Le temps est condensé dans les gestes répétés qui construisent des surfaces où souvent un léger relief laisse apparaître la force de la frappe. Le « stiacciato » est la technique la plus proche de mon […]
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