Philippe Mayaux par Philippe Mayaux
Art contemporain | Mon « je » ne m’intéresse pas plus que ça autant que mon inconscient me laisse cette liberté. Il n’est pas plus important qu’un autre. Mon cerveau doit contenir une grande quantité de neurones miroirs parce que ce sont justement les autres et la diversité de leurs cultures qui m’enrichissent et me font évoluer.
Je, le monde
Mon « je » ne m’intéresse pas plus que ça autant que mon inconscient me laisse cette liberté. Il n’est pas plus important qu’un autre. Mon cerveau doit contenir une grande quantité de neurones miroirs parce que ce sont justement les autres et la diversité de leurs cultures qui m’enrichissent et me font évoluer. Les autres mais surtout la nature et l’univers dans toutes ses dimensions, infiniment petites et infiniment grandes. Le monde ne se limite pas aux affaires humaines, ordinairement vaniteuses, violentes, égoïstes, agitées sur une boulette bleue faite de poussières d’étoiles qui tourne en rond à très grande vitesse autour du centre d’une galaxie qui elle même fonce vers d’autres galaxies. Le cosmos […]
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